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La brique qui fâche! Comment le palais de Jabba est devenu le centre d’une polémique?

À l'occasion du Star Wars Day, journée à la gloire de la franchise de Disney, explorons ensemble l'histoire d'une brique LEGO à l'origine d'une polémique insolite. May the 4th be with you.

Il y a bien longtemps…

Californie, 1973. Un jeune réalisateur peine à convaincre des producteurs récalcitrants de la 20th Century Fox de financer son prochain long-métrage, son grand projet visionnaire. C’est une œuvre ambitieuse de science-fiction, ou, pour être plus précis, un Space Opera. Mais les pontes du studio peinent à comprendre les idées farfelues et foisonnantes empreintes de combats spatiaux et de bestiaires oniriques.

Il faut dire qu’avec seulement deux films à son actif, George Lucas effarouche les investisseurs potentiels qui émettent des doutes sur sa capacité à diriger des films à gros budget. C’est après avoir terminé son film Amercian Graffiti en 1972 qu’il décide de se lancer dans une adaptation de Flash Gordon. Bien que le projet soit abandonné suite à des conflits avec les ayants droit, l’attrait pour les aventures spatiales ne quitte pas le jeune réalisateur.

C’est à ce moment que l’idée de rédiger son propre scénario germe dans l’esprit de Lucas. Dès 1973, il travaille à l’écriture d’une histoire de science-fiction de son invention. Trop dense, trop complexe, voire trop créative, la grande épopée spatiale peine à aboutir et George Lucas retravaille incessamment son ouvrage ; il réécrit son script, affine son intrigue, ses personnages. Il passera deux ans à décanter ses idées. 

Ce n’est que peu de temps après avoir commencé l’écriture de sa troisième version du script, en janvier 1975, que George Lucas fait appel à différents designers, dont un certain Ralph McQuarrie pour illustrer les personnages, les costumes, les accessoires et les décors. Bien lui en a pris puisque le script qu’il apporta à la 20th Century Fox, accompagné des illustrations de McQuarrie, convainquit le studio de lui allouer un budget de 8,25 M$ pour son film que nous connaissons tous aujourd’hui sous le titre de Star Wars.

Jadis, le futur

Lors de sa phase de recherche et d’écriture, George Lucas s’est imprégné d’une quantité phénoménale de sources d’inspiration. Ainsi, il emprunte autant à l’Orient spirituel et esthétique inspirés des films de samouraïs, des films de guerre (le Vietnam n’est pas loin), d’œuvres tel que Dune ou le Hobbit. Le manichéisme de la Force rappelle également la cosmologie d’Empédocle et ses deux principes qui règnent cycliquement sur l’univers, l’Amour et la Haine.

Toute première apparition de Dark Vador. Illustration de Ralph McQuarrie.

Cependant, nous devons l’esthétique de l’univers de Star Wars, pour sa très grande majorité, au travail et à la créativité d’un homme, Ralph McQuarrie. En effet, ses travaux préparatoires impressionnèrent tant George Lucas qu’il mit un point d’honneur à rester le plus fidèle possible aux illustrations et concepts de McQuarrie. Pendant le tournage, Lucas s’est assuré que de nombreux plans reproduisaient exactement ses peintures, telle était son estime pour le travail de McQuarrie.

Star Wars n’a aucun point de référence au temps ou à l’espace terrestre, avec lesquels nous sommes familiers, et il ne s’agit pas du futur mais d’un passé galactique ou d’un présent extra-temporel, c’est un lieu résolument habité et utilisé où le matériel est pris pour acquis.

Lucas sur l'esthétique "future usagé"

Parmi les concepts réalisés par l’illustrateur, nous connaissons tous ses designs des personnages. De celui de Dark Vador, inspiré de l’armure de samouraï avec son casque kabuki, aux Stromtroopers qui mimiquent les nazis, en passant par le droïde C-3PO, dont la ressemblance avec le robot du film Metropolis de Fritz Lang flirte avec le plagiat, Ralph McQuarrie puise allègrement dans les références historiques. Mais il serait trop simple de dire qu’il ne fait que les reprendre in extenso. Non, il les absorbe et les sublime.

Son travail, néanmoins, ne s’arrête pas aux concepts des personnages. McQuarrie a été le démiurge qui a donné de la consistance aux environnements de la galaxie lointaine, très lointaine de Star Wars. Lointaine vraiment ? Pas si sûr. George Lucas avait une idée bien précise de ce qu’il voulait pour son film, ou devrait-on dire ce qu’il ne voulait pas : un monde coloré, chromé et « propre ». C’était pourtant l’esthétique à la mode lorsqu’il s’agissait de récit de science-fiction.

Ainsi, Lucas décrivit son style visuel de « documentaire fantastique » avec un concept innovant pour l’époque, le « futur usagé » (used future) de son monde fictif. Bien que le concept ne soit pas né avec Star Wars, son succès commercial l’a définitivement popularisé. Cette patine usée qui empreint l’univers des films invite le spectateur à un sentiment de familiarité. La technologie futuriste est aussi naturelle pour les personnages que le sont, par exemple, les voitures pour nous. Presque tout y est rafistolé, abimé et poussiéreux, en somme : vivant.

Une galaxie pas si lointaine

Différentes illustrations de Tatooine par Ralph McQuarrie

Avec ces instructions en tête, Ralph McQuarrie s’est attelé à la tâche ardue de transcrire les idées de George Lucas en images. L’illustrateur fut très prolifique et, de dessin en dessin, donna corps aux différents environnements servant de trame de fond à l’intrigue. Le processus créatif est une chose bien mystérieuse, mais les directives de Lucas guidèrent son travail et plutôt que d’inventer des montages hallucinés, il s’inspira de différents courants architecturaux et emprunta les traits exotiques de monuments bien terriens.

Passer en revue l’ensemble de ses travaux mériterait un livre entier. Ce qui nous intéresse ici, c’est la série d’illustrations s’attardant sur une des planètes centrales dans l’épopée Star Wars, le fil rouge courant à travers les films, Tatooine. Cette planète désertique, dont le nom lui-même est un emprunt à la ville de Tataouine en Tunisie, est le lieu décor d’une grande partie de l’intrigue et la planète d’où Luke Skywalker débute son long parcours initiatique.

L’une des premières peintures de Ralph McQuarrie de Tatooine représente l’astroport de Mos Eisley. La ville, un « repaire des malandrins les plus infâmes de toute la galaxie », a été imaginée comme étant construite de boue, de terre battue et de plâtre dans un style architectural vernaculaire nord-africain. Sachant que la plupart des prises de vues extérieures ont été tournées dans le désert tunisien, il n’est pas étonnant que les deux mondes partagent de nombreuses similitudes.

Dans un souci d’authenticité, et probablement aussi de budget, certains plans furent d’ailleurs tournés dans des décors réels, tel l’hôtel Sidi Driss à Matmata qui devient la ferme des Lars grâce à la magie du cinéma. Il serait tout de même faire injure à McQuarrie de penser que ses designs architecturaux ne sont que de vulgaires décalques des constructions autochtones. Pour s’en convaincre, il suffit de s’attarder sur l’édifice le plus tristement célèbre de Tatooine : le palais de Jabba le Hutt.

Hommage à l’appropriation

Jabba Desilijic Tiure, dit Jabba le Hutt, est un antagoniste présent à travers les films de la saga. Chef du très puissant cartel des Hutts, il dirige sont empire du crime tapis à l’abri de son imposant palais qui domine le désert de dunes de Tatooine. Isolé, lourdement blindé et gardé par une petite armée, ce bâtiment gigantesque apparaît pour la première fois dans Le Retour du Jedi. À l’image de son propriétaire, le bâtiment est tout en rondeurs, massif et peu accueillant.

L’aspect répugnant de Jabba, croisement entre une limace géante et un crapaud, peut trouver sa source d’inspiration dans les travaux de Jean Giraud, dit Mœbius, effectués pour la préproduction du film Dune de Jodorowsky. En effet, dans l’univers de Dune, le baron Harkonnen partage de troublantes similitudes avec Jabba le Hutt. Le personnage d’une obésité morbide est incapable de se déplacer sans l’aide de « suspenseurs antigravité », à rapprocher du palanquin sur « répulseurs » qu’utilise Jabba pour ses déplacements.

Le baron Harkonnen par Mœbius

Le palais apparaît pour la première fois sous les pinceaux de McQuarrie et n’a quasiment pas changé lors de son passage à l’écran. L’illustrateur conserve une certaine cohérence architecturale entre les différents lieux de Tatooine. Cependant, les sources d’inspirations du palais semblent être plus nombreuses. Ses grandes surfaces lisses sans fenêtres rappellent le brutalisme, tandis que les dômes coiffants les différentes structures semblent être d’inspiration Byzantine.

Ci-dessus

Le palais de Jabba le Hutt vu par Ralph McQuarrie. Il est surprenant de voir un design aussi abouti. La version aperçue dans le Retour du Jedi est quasiment identique aux illustrations.

Ces dômes surbaissés à tambour évoquent naturellement ceux de l’Hagia Sophia, la basilique Sainte-Sophie à Istanbul, chef-d’œuvre du VIe siècle considéré comme le plus bel exemple de l’architecture byzantine. Convertie en mosquée après la prise de Constantinople par les Ottomans en 1453, la basilique a néanmoins été préservée. Seuls quatre minarets furent accolés à l’édifice, ajoutant d’autant plus de similitudes avec le palais de Jabba et ses grandes tours.

Cependant, il serait simpliste de s’arrêter à une unique référence. Ainsi, l’architecture cycladique, emblématique des archipels grecs des Cyclades, ne peut être écartée. Il suffit pour s’en convaincre d’arpenter les dédales de la localité d’Oia à Santorin pour s’imaginer dans les ruelles de Mos Eisley. L’art nouveau peut également être invoqué tant l’aspect organique des sommets des tours imitent un chapeau de champignon. Et que dire de l’observatoire météorologique de la Sniejka en Pologne, ou, plus proche du domicile de Ralph McQuarrie, l’observatoire Griffith à Los Angeles ? Toutes ces références sont légitimes comme vous pouvez le constater ci-dessous.

La basilique Sainte-Sophie à Istanbul, convertie en mosquée. (DR)

Une forteresse Jawa qui rappelle fortement l’architecture cycladique de la localité d’Oia à Santorin. (Ralph McQuarrie/DR)

Ci-dessus
L’observatoire Griffith niché sur les hauteurs de Los Angeles, à proximité du célèbre Hollywood. (DR)

Ci-dessous
L’observatoire météorologique au sommet de la Sniejka en Pologne. (DR)

Stars Wars, ton univers impitoyable

Il serait aisé de croire qu’après toutes les anecdotes sur ses origines, le palais de Jabba n’ait plus de secrets à dévoiler. C’est mal connaitre l’engouement autour de la franchise, car une grande popularité rend la curiosité des fans insatiable. Ainsi, l’histoire de la cosmogonie de l’univers de Star Wars se dévoile aussi en dehors du matériau de base que sont les films. Livres, romans, encyclopédies en tous genres explorent plus avant les profondeurs du lore et poursuivent un travail anthropologique de l’arrière-monde entraperçu à l’écran.

Au détour des informations glanées grâce à ces différentes sources, le palais de Jabba étoffe son mythe pour le rendre encore plus sombre qu’il ne l’était déjà. Aux criminels sanguinaires, aux orgies décadentes, et aux monstres en sous-sol, il faut désormais ajouter l’ordre des moines Bo’marr à la liste des curiosités macabres peuplant le lieu. L’ésotérisme de l’édifice n’a donc pas échappé aux différents auteurs travaillant sur l’univers étendu, et il est ainsi révélé que la résidence de Jabba n’est autre qu’un ancien monastère convertit en forteresse pour les besoins du Hutt.

Ci-dessus

Ralph McQuarrie dépeint des moines Bo’marr avant d’être décérébrés.

Un droïde araignée BT-16 déambulant aux alentours du palais avec son bocal nutritif contenant le cerveau d’un moine Bo’marr.

Les moines B’omarr étaient les membres un mystérieux ordre religieux qui s’est installé sur la planète Tatooine 700 ans avant les péripéties de la trilogie originale. Les B’omarr pensaient que se couper de toute sensation physique permettait d’atteindre l’illumination. Lorsqu’un moine y parvenait, son cerveau était retiré grâce à une procédure chirurgicale et maintenu artificiellement en vie. Lorsqu’ils ont eu besoin de se déplacer dans leur monastère, leurs cerveaux ont été transférés dans des droïdes araignées BT-16 spécialement modifiés pour accueillir leurs cerveaux dans un bocal suspendu sous les pattes.

Un de ces droïdes araignées peut être aperçu en arrière-plan dans Le Retour du Jedi. Bien qu’on ne distingue pas le contenu de son bocal, savoir qu’une cervelle y est conservée est glaçant. Car il faut savoir que l’arrivée de Jabba dans le monastère n’a pas délogé ses moines. Bien au contraire, le Hutt les tolérait et les laissait déambuler librement dans les entrailles du palais, savourant l’effroi que leur vision cauchemardesque produisait sur les visiteurs et son entourage.

Lego, jeu, set et match

C’est en 2012 qu’entre en scène le groupe Lego dans l’histoire du palais. Depuis plus de 20 ans, le fabricant de jouets commercialise des ensembles sur le thème de Star Wars. Avec près de 900 produits LEGO lancés au fil des ans, il est indéniable que la franchise jouit d’une popularité à l’épreuve du temps. Et le repère du seigneur du crime constitue une magnifique opportunité d’offrir aux fans une construction attrayante. Le set LEGO 9516 : Le Palais de Jabba est lancé.

Le set LEGO 9516 : Le Palais de Jabba, à l’origine de la controverse.

Avec ses 717 pièces, l’ensemble permet de recréer la salle du trône de Jabba et fourmille de nombreux détails aperçus dans le film. À l’intérieur, le Hutt fume son narguilé confortablement installé sur son palanquin. LEGO fournit même un moine Bo’marr enchâssé dans son droïde araignée. L’extérieur, quant à lui, reprend les principaux éléments architecturaux du palais : des dômes, une tour et une lourde porte blindée. Le rendu général est simpliste mais parvient à offrir un aspect convaincant et reconnaissable. Quand soudain, au détour d’un cadeau de Noël en 2012, la polémique fait son apparition avec fracas.

Il est clair que la figure du vilain méchant Jabba et toute la scène servent de préjugés raciaux et d’insinuations vulgaires contre les Orientaux et les Asiatiques en tant que personnalités sournoises et criminelles. […] Les enfants deviendront insensibles à la violence et aux autres cultures.

Birol Kilic, président de l'Association culturelle turque d'Autriche

À Vienne, un père se plaint à la l’Association culturelle turque d’Autriche du cadeau de Noël reçu par son fils, le fameux Palais de Jabba de LEGO. La communauté s’empare rapidement de l’affaire et s’indigne de ce qu’elle considère comme des « défauts répréhensibles sur le plan éducatif et culturel ». Mais qu’est-il reproché exactement au jouet de construction qui, toujours selon cette communauté, « n’a pas sa place dans les chambres d’enfants » ? Tout simplement sa ressemblance avec la basilique chrétienne devenue mosquée, puis musée, l’Hagia Sophia, Sainte-Sophie à Istanbul.

Dès lors, c’est la pente glissante. « Le terroriste Jabba le Hutt aime fumer le narguilé et tue ses victimes », « la tour en forme de minaret comporte des mitrailleuses » et comble de l’insulte, le garde Gamorréen aux traits porcins, armé d’une hache, se tient à la place supposée qu’occuperait un muezzin. Malgré les dénégations du groupe LEGO, qui se borne à faire valoir les images du film comme uniques références et de regretter une mauvaise interprétation, l’Association culturelle turque n’accepte pas la réponse de l’entreprise et la renvoie à ses responsabilités.

Les griefs de l'Association culturelle turque d'Autriche mis en image.

La boucle est bouclée

Malgré la polémique, l’ensemble LEGO fut retiré de la vente en 2014 au terme d’un temps de commercialisation de 18 mois, un cycle de vie relativement courant chez LEGO et qui ne permet pas de trancher si la controverse eut un impact sur le retrait du modèle. Toujours est-il que l’affaire a laissé des stigmates chez le groupe danois, qui a visiblement retenu la leçon avec la réédition récente du palais de la discorde.

Le récent set La salle du trône de Boba Fett (75326), qui est une réinterprétation du Palais de Jabba (9516), prend grand soin d’éviter tous les écueils de son aïeul. Ainsi, le dôme coiffant la construction disparaît au profit d’une toiture quelconque, la tour perd un étage et évite soigneusement la présence d’armes, et le garde Gamorréen reste à hauteur du sol sur les visuels officiels. Heureusement pour LEGO, le personnage de Jabba repose dans sa tombe.

Au final, cette tempête dans un verre d’eau met en lumière une certaine ignorance de la charge culturelle présente dans ce bâtiment, certes fictif, mais éminemment ancré dans notre histoire réelle. Que ce soit la naïveté de LEGO de penser que « le modèle en question n’est basé sur aucun bâtiment réel » ou le biais de confirmation de l’Association culturelle turque d’Autriche qui croit repérer une intention cachée, chaque camp s’attache au superficiel d’une même histoire dont la profondeur des racines a été sous-estimée.

De la récupération architecturale au symbolisme religieux, en passant par l’inspiration historique, il est amusant de voir comment la fiction et le réel s’entrechoquent dans cette affaire insolite. Pour conclure, si l’on considère que la basilique Sainte-Sophie est effectivement la source d’inspiration du palais de Jabba, que dire alors de la toute récente mosquée de l’aéroport d’Istanbul ? La boucle est-elle enfin bouclée ?

La nouvelle mosquée de l'aéroport d'Istanbul. Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se recycle...
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[…] Soyons honnêtes, de ce côté-ci, il faut vraiment chercher la ressemblance avec le Palais de Jabba Boba Fett. Le rendu général manque de rondeurs et surtout, (surtout!) d’un toit en coupole, élément emblématique de ce bâtiment. Il était pourtant bien présent dans sa précédente version LEGO : Le Palais de Jabba (9516). Vous connaissez peut-être la raison de cet abandon suite à une polémique qui a enflammé le monde musulman. Cependant, cette histoire est si passionnante qu’elle fait l’objet d’un autre article.  […]

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